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Annie laide mais pas trops
[Annie] [Adresse Privée] [Amour]
Mon délicieux amant, Que distingue tu sur cette photo que j'ose te montrer, oui, j'ai ma « chatte » à l'air, je ne suis pas poilue, mais tu le sais déjà, pour toi, je peux ne pas mettre de culotte. Que sais-tu des désirs peu avouables qui germent sur ma peau? Sous la lueur de tes yeux que j'invoque. Je porte un haut, des bas assortis, et pas de culotte ou de string... Savoir que tu me regardes est excitant : j'aime que t'attardes sur mon intimité dévoilée... Je prends ton temps et ces secondes qui coulent font grandir la tension qui s'installe entre nous. Tu es tout proche mais nous ne nous voyons pas... Un émoi diffus s'empare de tout mon être, je suis un peut nymphomane, tout en étant discrète en raison de mon apparence, physiquement cela ne vas pas si mal, mais au niveau du visage, je ne suis pas très séduisante, toi, tu as su m’apprécier sans faire de remarquas. J'aime lorsque je peux l'exprimer, le sexe, je suis sans tabous. J'ai envie que tu m'attires à toi et mes mains dessinent d'une caresse la forme de ton désir, que je décide de libérer... Je me colle contre toi, pressant mon ventre contre ton oiseau, ferme et doux : un frisson me traverse. Enfin ! Tu poses tes mains sur mes seins, tu a l'air d'aimer çà, tu les caresse, malaxe, suce les pointes, tu n'es pas timide sur le plan sexuel, j'adore. Puis, tu t'empares de ma bouche avec fougue. Mes seins s'insurgent sous tes paumes, puis sous tes doigts, qui en pincent les bouts. Ta langue qui les provoque et tes lèvres qui les titillent. Puis, ta main poursuit son aventure. D'abord légers, tes doigts se font inquisiteurs Des courants chauds parcourent tout mon corps. Mes mains s'empare de ton sexe, que je masse, il faut faire durer le plaisir. Puis c'est ton tour de commencer à me donner du plaisir par ta bouche, ta langue se fait un chemin, appelle une vague de plaisir. Mes hanches ondulent et se cambrent, mes lèvres s'ouvrent impudiques à l'appel de ta bouche gourmande. Une envie furieuse d'être dégustée. Un désir, comme une supplique, érige la fleur que tu as dévêtue. J'ai envie que tu envahisses la profondeur de ma chatte... Tourmentée de désir de sentir dans ma chair s'insinuer ton sexe jusqu'à la garde, je te dis « prends-moi... » Mes cuisses se ferment sur une moiteur tiède et douce... Dans ces nuits où tu n'es pas, j'ai un désir fou de toi... et quoique absent, tu règnes sur mes plaisirs... À bientôt. Passionnément, |
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